Partiel violet
Publié leLe bon côté de la fainéantise : une demi-toile qui fait le même effet qu’une toile complète. Pour les petits budgets ou les intérieurs étroits.
Le bon côté de la fainéantise : une demi-toile qui fait le même effet qu’une toile complète. Pour les petits budgets ou les intérieurs étroits.
Après le semi-échec des Lames, j’avais quand même envie d’une toile dans cette gamme qui soit plus facilement transportable qu’un assemblage branlant et lourd comme un âne mort. Je voulais aussi essayer ma nouvelle technique de séparation des couleurs sur ces cercles. Le résultat est à la hauteur de mes attentes…
Et si j’essayais de couper, non pas les cheveux mais les toiles en quatre ? Et bien, c’est pas mal du tout, non ? Et pour un petit format, c’est vraiment top…
J’aime vraiment cette conjonction cercles-traits (sans blague !). Pourquoi j’ai choisi cet horrible orange par contre, alors là…
On passe du king-size à la miniature avec Mini-me, en hommage à Mike Myers. L’impression visuelle reste la même, avec beaucoup moins de boulot…
Un diptyque très coloré, qui montre que je ne suis pas obligé d’avoir un fond noir sur toutes mes toiles.
Une variation sur un thème connu. Je ne sais pas pourquoi, mais l’ai recouvert d’un horrible vernis brillant. Du coup, la photo est encore plus moche que les autres…
Je reprends un algorithme que j’avais inauguré 3 ans auparavant, auquel l’ajout des traits de démarcation noirs donne un salutaire coup de fouet. C’est tout simple, mais efficace, avec un pixel or qui allège une zone un peu sombre à mon goût.
Ma toile la plus froide : rien qu’à la regarder, je m’enrhume. Elle est faite sur le même algorithme que XL I, en “déroulant” le motif.
Une combinaison très flashy de deux gammes de toiles. Ça pique un peu les yeux, et ma Doudou le trouve un peu too much, mais j’aime bien, même si je n’en ferais pas des dizaines.