Guingois
Publié leNouvelle technique : faire ressortir la couleur en la compressant dans un carcan noir profond. La photo ne rend guère hommage à l’original, il faut vraiment que je fasse faire des prises de vue par quelqu’un qui sait
J’aime étaler des pigments sur du tissu spécialement traité. Il paraît qu’on appelle ça des “toiles”…
Nouvelle technique : faire ressortir la couleur en la compressant dans un carcan noir profond. La photo ne rend guère hommage à l’original, il faut vraiment que je fasse faire des prises de vue par quelqu’un qui sait
Un joli petit format, bien proportionné. L’épaisseur des lignes de couleur est parfaite pour cette dimension, alors que sur des toiles de beaucoup plus grandes dimensions c’est un peu fin.
Qui l’eût cru ? J’ai vendu cette toile à une petite mamie au moins septuagénaire. Un retour d’acide, sans doute…
Première incursion dans un concept que je reprendrai plus tard. Le nom m’a été inspiré par Howard Tayler, l’auteur de l’immense Schlock Mercenary, qui donne des noms de météorites à une gamme de vaisseaux spatiaux énormes. La toile m’inspire une boule de feu entrant dans l’atmoshpère, alors…
Conjugaison de cercles, de droites et de deux dégradés, une petite toile toute simple qui donne une certaine impression de relief
On prend le même algorithme, et on le retourne, pour une impression de contre-plongée.
Le bon côté de la fainéantise : une demi-toile qui fait le même effet qu’une toile complète. Pour les petits budgets ou les intérieurs étroits.
Après le semi-échec des Lames, j’avais quand même envie d’une toile dans cette gamme qui soit plus facilement transportable qu’un assemblage branlant et lourd comme un âne mort. Je voulais aussi essayer ma nouvelle technique de séparation des couleurs sur ces cercles. Le résultat est à la hauteur de mes attentes…
Et si j’essayais de couper, non pas les cheveux mais les toiles en quatre ? Et bien, c’est pas mal du tout, non ? Et pour un petit format, c’est vraiment top…
J’aime vraiment cette conjonction cercles-traits (sans blague !). Pourquoi j’ai choisi cet horrible orange par contre, alors là…