Cinquante-septième année terminée, en route pour la cinquante-huitième !
Avec des bas profonds et (heureusement) des hauts lumineux et enthousiasmants, ces 365 jours n’ont pas été aussi banals que j’aurais pu le croire. Il y a eu des changements inattendus mais majeurs, et l’important c’est que je ne me sois jamais ennuyé…
Pas beaucoup de choses à dire sur 57 :
– nombre semi-premier (produit de deux nombres premiers, 3×19 pour les nuls en maths) ;
– nombre composé deux fois brésilien (eh ouais !) ;
– numéro atomique du lanthane, une terre rare entrant dans la composition des pierres à briquet et des catalyseurs (ne pas respirer les poussières et vapeurs, je vous aurai prévenus !) ;
– numéro d’un obscur département français sans importance.
Reste à établir la liste de ceux qui ont passé l’arme à gauche dans leur 57ème année, et que j’aurai donc battus au jeu de la longévité :
Jules César, Sadi Carnot (j’ai longtemps cru que ça s’écrivait Sadique Arnaud), Ian Fleming (l’espion, pas la pénicilline), Albrecht Dürer (peintre allemand), Adolf Hitler (peintre allemand également), Henri IV, Abraham Lincoln, Steve Jobs (“Le cancer c’est pour les lopettes !”), Ludwig van Beethoven, Albert Spaggiari et une de mes idoles : Kasimir Malevitch. Salut les losers !!!
J’espère retrouver dans la vraie vie un maximum d’entre vous, c’est toujours des bons moments.
A +,
Stan