Ma 55ème année s’achève, une année mémorable, et pas qu’à propos de ma moustache. Un petit florilège sur 55 : – 55 est le numéro du département de la Meuse, qui tient une place à part dans ma vie : ma fille et son doudou y vivent, mon père y a vécu, j’y ai travaillé… […]
Une réédition de Gaïa, bien plus précise et léchée.
Une petite fantaisie sur un œuf d’autruche. Copie d’une carte de 1790 basée sur les voyages du Capitaine Cook, c’est un travail très différent de mon style. Mais j’aime bien, ça change…
L’œuf d’autruche est la plus grosse cellule unique connue. Allez savoir pourquoi, j’en ai fait une planète… Voici l’ouvrage qui remonte à une bonne dizaine d’années et qui n’a pas eu (allez savoir pourquoi…) l’honneur d’une page ici. L’erreur est réparée. C’est un bel objet, très différent de mon travail habituel, qui m’a demandé une […]
La série des Épées comptait jusque là trois membres : Glamdring, Excalibur et Stormbringer, le triptyque que j’ai offert à mon fils. Voici leur soeur Durandal, l’épée de Roland le trompettiste de Roncevaux. Très rustique, mais bien aiguisée.
Il me fallait un nouveau motif avec ma palette gris-rouge favorite pour constituer un élément du pentaptyque (?) qui devrait être le clou d’une prochaine exposition. Une petite adaptation de Skyline a fait l’affaire.
Cette toile tient une place à part dans mon catalogue. Contrairement à toutes les autres dont la géométrie est le fruit d’un algorithme dans lequel le hasard est essentiel, la taille et la position de chaque cercle sont déterminées par des nombres précis et connus d’avance. Il en va de même pour les secteurs rouges. […]
Aïe ! Problème de vernis, la dernière étape me saute au pif ! Vue l’ampleur des dégâts, il n’y a plus qu’à poncer le vernis, en préservant au maximum le motif. Et c’est reparti pour un tour… Ce coup-ci, je vais faire gaffe avec le vernis. ..
Deuxième (et non second) de la série, avec un autre de mes best-sellers en vedette.
Au bureau, dans l’open-space, nous avons trois tabourets permettant de venir assister un collègue sans avoir à déplacer nos encombrants fauteuils. Ikea, c’est pratique, mais pas toujours sexy, alors je me suis dit qu’un peu de “Pimp my tabouret” ne ferait pas de mal… On commence par un vigoureux ponçage, histoire de griffer un peu […]