J’aime énormément cette toile, malgré (ou à cause de) son caractère unique, sans descendance. Elle ne me ressemble guère, avec ses traits à main levée d’épaisseur changeante qui composent une scène vaguement cubiste. C’est une voie où je n’ai pas persévéré, car j’ai toujours eu l’impression que je ne ferais jamais mieux que ça…
J’ai quand même décliné le concept sur un galet :
J’ai aussi utilisé une version agrandie (60×40 cm) de la toile comme élément central d’un projet de décoration pour un ami orthophoniste, qui souhaitait donner un coup de fouet à sa salle d’attente :
Ça c’est du coup de fouet !
Ça pique les yeux, mais ce concept m’a donné l’idée d’une toile que j’ai finalisée quelques années plus tard, et qui a marqué une étape importante sur mon chemin. Et cette pièce a aussi tapé dans l’oeil de Géraldine, ce qui m’a aidé à entrer au P’tit Baz’Art ! Une impasse prolifique, en somme.